AMÉNAGEMENT D’UN JARDIN VU DU CIEL 1/3
Revoir l’organisation
Avant, Christian élevait 2 agneaux dans la partie entre la route et le poulailler. Il faisait son potager de 150 m² tout à la fourche bêche, devant et de l’autre côté du parc à volailles.
Seulement, les agneaux ne se nourrissent pas des mauvaises herbes comme le rumex, le pissenlit, le chardon, la ronce, l’ortie, le chiendent, la renoncule ou le liseron qui sont des plantes résistantes et envahissantes.
Bien-sûr, il passait un coup de débroussailleuse après le pâturage, mais ce n’est pas en coupant les feuilles que l’on supprime ces plantes, dont le moindre bout de racine permet le développement d’une nouvelle plante.
Avec l’arrivée de Catherine, et ne trouvant plus d’agneaux à élever, nous avons décidé de revoir l’organisation de notre jardin.

Travail déjà réalisé


L’année dernière, nous avons transformé l’ancien potager en jardin d’agrément avec de la pelouse, des parterres de fleurs, des rosiers et des arbustes.
Nous avons fait préparer la terre du potager avec un tracteur, dans la partie basse du terrain, après que Christian ait enlevé le maximum de ces mauvaises herbes en les arrachant avec leurs racines, car c’est le seul moyen d’en réduire le nombre.
Le fait d’avoir le potager en face de l’entrée du terrain permet d’y faire entrer un tracteur pour labourer et travailler la terre, ce qui est la plus grosse partie du travail du jardinier. Ensuite semer ou planter, ce n’est que du plaisir, mais il faut quand même entretenir régulièrement son potager pour le garder propre et agréable.
Cette année, du fait du confinement, plusieurs semaines se libéraient et comme dirait notre Président :
» Si vous voulez du travail, il faut traverser la route. » Puis » Restez chez vous. «
Le nettoyage
Christian s’est donc entrepris de s’attaquer au nettoyage de la partie haute qui fait environ 400 m². Avec sa grelinette, il soulève la terre sur une bande de 4 à 5 mètres de large, puis avec son croc il sépare l’herbe de la terre, puis il ramasse les herbes avec le maximum de racines. Car si vous laissez un petit bout de racine de chiendent, liseron, rumex, pissenlit, ortie ou chardon ; il reformera une nouvelle plante.
Après 20 longues journées de travail acharnées et pénibles, Christian est venu à bout de cette corvée ; il a retiré 110 grosses brouettées de ces herbes.

La clôture

Il y a vingt ans, quand Christian a aménagé dans la maison qu’il a entièrement reconstruite presque tout seul, il a clos son terrain de 1800 m² avec des poteaux de bois et du grillage à mouton, car les chiens du voisinage venaient s’amuser sur ce terrain. Ensuite il a construit un parc pour élever des volailles et planter des arbres fruitiers.
Seulement avec le temps, les ronces se sont développées autour de la clôture. Il y a aussi deux grosses souches de noisetiers, un ajonc et une dizaine d’épines blanches.
Comme le confinement durait, Christian a pris la décision de refaire cette clôture, car les 2 tiers des poteaux sont cassés. Dans un premier temps, il faut couper tout ce qui dépasse du grillage et l’enlever. Ensuite il faut retirer le grillage, le barbelé et les poteaux. La clôture fait 66 mètres de long.
Enfin et c’est le plus dur, il faut arracher les ronces et surtout les souches. Après d’innombrables coups de pioche et beaucoup d’huile de coude, Christian a tout arraché. Seulement pour les 2 souches de noisetier dont la plus grosse fait 1,50 m de long, il a fallu l’intervention d’une mini pelle.
Catherine notre télépilote de drone…
… Nous prépare aussi un petit film qui sera diffusé ultérieurement dans le Portfolio de notre site internet.

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